jeudi 21 mars 2013

Macabre Models

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In works of art, macabre (US /məˈkɑːb/ mə-KAHB or UK /məˈkɑːbrə/; French: [makabʁ]) is the quality of having a grim or ghastly atmosphere. Macabre works emphasize the details and symbols of death.
Authors such as H. P. Lovecraft and Edgar Allan Poe used macabre atmosphere in their works.




History

This quality is not often found in ancient Greek and Latin writers[citation needed], though there are traces of it in Apuleius and the author of the Satyricon. The outstanding instances in English literature are John Webster, Robert Louis Stevenson, Mervyn Peake, Charles Dickens, Thomas Hardy, and Cyril Tourneur. In American literature notable authors include Edgar Allan Poe and H. P. Lovecraft. The word has gained its significance from its use in French as la danse macabre for the allegorical representation of the ever-present and universal power of death, known in English as the Dance of Death and in German as Totentanz. The typical form which the allegory takes is that of a series of images in which Death appears, either as a dancing skeleton or as a shrunken shrouded corpse, to people representing every age and condition of life, and leads them all in a dance to the grave. Of the numerous examples painted or sculptured on the walls of cloisters or church yards through medieval Europe, few remain except in woodcuts and engravings.
The famous series at Basel originally at the Klingenthal, a nunnery in Little Basel, dated from the beginning of the 14th century. In the middle of the 15th century this was moved to the churchyard of the Predigerkloster at Basel, and was restored, probably by Hans Kluber, in 1568. The collapse of the wall in 1805 reduced it to fragments, and only drawings of it remain. A Dance of Death in its simplest form still survives in the Marienkirche at Lübeck as 15th-century painting on the walls of a chapel. Here there are twenty-four figures in couples, between each is a dancing Death linking the groups by outstretched hands, the whole ring being led by a Death playing on a pipe. In Tallinn (Reval), Estonia there is a well-known Danse Macabre painting by Berndt Notke displayed at St.Nikolaus Church (Niguliste), dating the end of 15th century. At Dresden there is a sculptured life-size series in the old Neustädter Kirchhoff, moved here from the palace of Duke George in 1701 after a fire. At Rouen in the cloister of St Maclou there also remains a sculptured danse macabre. There was a celebrated fresco of the subject in the cloister of Old St Pauls in London, and another in the now destroyed Hungerford Chapel at Salisbury, of which only a single woodcut, "Death and the Gallant", remains. Of the many engraved reproductions, the most famous is the series drawn by Holbein. The theme continued to inspire artists and musicians long after the medieval period, Schubert's string quartet Death and the Maiden (1824) being one example. In the twentieth century, Ingmar Bergman's 1957 film The Seventh Seal has a personified Death, and could thus count as macabre.
The origin of this allegory in painting and sculpture is disputed. It occurs as early as the 14th century, and has often been attributed to the overpowering consciousness of the presence of death due to the Black Death and the miseries of the Hundred Years' War. It has also been attributed to a form of the Morality, a dramatic dialogue between Death and his victims in every station of life, ending in a dance off the stage.[1] The origin of the peculiar form the allegory has taken has also been found in the dancing skeletons on late Roman sarcophagi and mural paintings at Cumae or Pompeii, and a false connection has been traced with "The Triumph of Death", attributed to Orcagna, in the Campo Santo at Pisa.

Etymology

The etymology of the word "macabre" is uncertain. According to Gaston Paris[2] it first occurs in the form "macabre" in Jean le Fèvre's Respit de la mort (1376), Je fis de Macabré la danse, and he takes this accented form to be the true one, and traces it in the name of the first painter of the subject. The more usual explanation is based on the Latin name, Machabaeorum chorea (Dance of Maccabees). The seven tortured brothers, with their mother and Eleazar (2 Maccabees 6 and 7) were prominent figures on this hypothesis in the supposed dramatic dialogues.[3] Other connections have been suggested, as for example with St. Macarius, or Macaire, the hermit, who, according to Vasari, is to be identified with the figure pointing to the decaying corpses in the Pisan Triumph of Death, or with an Arabic word maqābir (مقابر), cemeteries (plural of maqbara). Another claim is that the word "Macabre" comes from the Hebrew "מהקבר" (spelled "mhkbr" and pronounced "Mehakever"), meaning "from the grave".


Macabre Models

mercredi 20 mars 2013

Cimetières de sous-marins et zones d’essais nucléaires : les séquelles de la Guerre froide La course aux armements qui a caractérisé la Guerre froide a occulté toute préoccupation environnementale (et pas seulement en Union soviétique comme en témoignent les essais nucléaires américains sur l’atoll de Bikini). Moscou a développé et produit en un demi-siècle une quantité considérable d’armes nucléaires, chimiques et bactériologiques. Or, la chute de l’URSS en 1991 et la désorganisation qui s’en est suivie a laissé un grand nombre d’unités de production et de dépôts à l’abandon, sans protection ni décontamination, notamment hors des frontières russes. Ceci par manque de moyens financiers mais également par pénurie de compétences techniques, les experts russes ayant rejoint la mère-patrie. La politique de « glasnost » (transparence) lancée par le président soviétique, Mikhaïl Gorbatchev, à la fin des années 1980 a révélé des informations inquiétantes sur les pratiques russes, notamment dans le domaine nucléaire, et sur leurs conséquences sur l’environnement : graves accidents dans des centrales et à bord de vaisseaux nucléaires, réseau de villes secrètes dédiées à la fabrication d’armes, immersion ou enfouissement de déchets sans contrôle… C’est sur ce secteur de l’héritage environnemental soviétique que la communauté internationale, qui se sentait directement menacée par les risques de contamination nucléaire à ses frontières, s’est le plus mobilisée au cours des années 1990. Dans les premières années qui ont suivi la fin de l’Union soviétique, elle a en particulier consacré ses efforts à aider les Nouveaux Etats indépendants à se «dénucléariser».

Cimetières de sous-marins et zones d’essais nucléaires : les séquelles de la Guerre froide - Environnement et pollution en Russie et en Asie centrale : l’héritage soviétique - Dossiers - La Documentation française

sous-marins

Cimetières de sous-marins nucléaires en Russie

L’Union soviétique avait construit au total 247 sous-marins nucléaires et cinq navires de guerre à propulsion nucléaire. Les deux tiers étaient affectés à la Flotte du Nord, devenue ainsi du temps de l’Union soviétique la plus grosse flotte nucléaire du monde, et un tiers à la Flotte du Pacifique.
192 sous-marins ont été désarmés (dont 116 pour la Flotte du Nord et 76 pour la Flotte du Pacifique), mais seulement 91 d’entre eux ont été démantelés (c’est à dire notamment délestés de leur moteur, et parfois de leur combustible nucléaire).
Les autres, soit 71 unités, attendent leur démantèlement, conservant à bord propulseurs et résidus de combustible nucléaires (chiffres 2004). Ils contiendraient 30 fois la quantité de combustible nucléaire du réacteur n°4 de la centrale de Tchernobyl lorsqu’il a explosé en 1986.
  • Mourmansk
La Flotte du Nord est répartie sur cinq bases navales dans la péninsule de Kola (située entre le mer de Barents et la mer Blanche). La plus importante, Mourmansk, est également un centre de production de sous-marins nucléaires. En dépit d’une aide étrangère importante, notamment américaine et norvégienne, les infrastructures pour démanteler les navires et surtout stocker leurs déchets restent insuffisantes. La construction d’une unité régionale de démantèlement est en cours dans la baie de Saïda (projet russo-allemand pour le stockage à long terme de 120 réacteurs). Elle sera opérationnelle en décembre 2008 mais ne résoudra pas la question du stockage du combustible, qui demeure la plus épineuse à résoudre, surtout lorsqu’il s’agit de combustible liquide.
En juin 2007, la fondation norvégienne pour la protection de l’environnement Bellona a lancé un appel au président russe, Vladimir Poutine, à propos des risques d’explosion nucléaire spontanée sur le plus grand site d’Europe pour le stockage de déchets radioactifs et de combustible radioactif usagé, situé à 100 km de Mourmansk et à seulement 45 km de la frontière russo-norvégienne, dans la baie d’Andreïeva. Selon un rapport d’experts et de scientifiques russes, un accident de ce type pourrait répandre dans l’atmosphère pas moins de 20 millions de curies.
  • Océan Pacifique
La Flotte du Pacifique, quant à elle, se trouve dans une situation encore plus défavorable : les sous-marins désaffectés sont disséminés le long de la côte, parfois à plus de 1 000 km de la plus proche installation de démantèlement. Le principal problème réside dans le remorquage de ces navires vers les chantiers, car ils sont généralement en très mauvais état. Le Japon, directement concerné par les risques de pollution dans cette zone, est le principal bailleur de fonds de ces opérations.
  • Océan Arctique
Autre risque de contamination, les vingt réacteurs de sous-marins nucléaires et le réacteur de brise-glace qui auraient été immergés depuis 1965 dans l’océan Arctique, au Nord de la Sibérie orientale. Selon certaines estimations, les déchets de la mer de Kara représenteraient les deux tiers de tous les matériaux nucléaires immergés dans le monde.

Environnement et pollution en Russie et en Asie centrale : l’héritage soviétique 

Le polygone d’essais nucléaires de Semipalatinsk au Kazakhstan

Le polygone de Semipalatinsk est le premier et l’un des principaux sites atomiques soviétiques. Entre 1949 et 1989, l’Union soviétique y fit exploser un total de 468 bombes atomiques dont 125 dans l’atmosphère et 343 sous-terre. Le site, qui s’étend sur 18 540 km2, a été fermé en 1991 par les autorités kazakhes, mais il n’est pas clos et les habitants des villages voisins y envoient paître leurs troupeaux. En 1997, l’AIEA (Agence internationale de l’énergie atomique) a confirmé que le site présentait de graves risques pour la santé publique. En effet, et selon plusieurs études concordantes, la proportion de personnes atteintes, notamment de cancers et de maladies mentales, dans les zones proches du polygone serait de 35 % supérieure à la moyenne du Kazakhstan.
Dans le cadre d’un programme d’assainissement de Semipalatinsk, coordonné par le Programme des Nations unies pour le développement (PNUD), l’OTAN a lancé en 2000 le projet SEMIRAD destiné à évaluer le niveau de contamination aux abords de la zone d’essais.

D’autres risques de contamination radioactive…

La production d’uranium et le stockage de déchets nucléaires ont engendré d’importants risques de contamination radioactive. Celle-ci touche plusieurs régions de Russie et d’Asie centrale. Par exemple, le lac Karatchaï qui borde le complexe industriel Mayak près de Tcheliabinsk dans l’Oural témoigne de la négligence passée de l’industrie nucléaire. Il est considéré actuellement comme l’un des endroits les plus pollués au monde. Les déchets nucléaires immergés dans le plan d’eau totaliserait 120 millions de curies, avec des quantités de strontium-90 et de cesium-137 sept fois supérieures à celles relâchées par l’explosion de Tchernobyl. Les déchets de 50 années de production, de traitement et de stockage d’uranium s’y trouvent en effet entreposés.

Que fait la communauté internationale ?

C’est dans le domaine du nucléaire militaire que la communauté internationale s’est le plus mobilisée. La Russie a d’ailleurs fait appel à elle, du moins pour l’aider à décontaminer la région Nord-Ouest. Toutefois, les sommes en jeu sont tellement importantes qu’il faudra attendre encore de longues années avant d’espérer aboutir à un résultat satisfaisant.
A titre d’exemple, la fondation Bellona a évalué le coût du démantèlement, de la sécurisation des dépôts et de la réhabilitation complète des sites à 1,6 milliard de dollars pour la région de Mourmansk et 845 millions pour celle de Tchéliabinsk.
  • En 2002, les pays du G8 (Groupe des huit principaux pays industrialisés) ont lancé le Programme de partenariat global contre la prolifération des armes de destruction massive et se sont engagés sur une somme totale de 20 milliards de dollars. Ce programme s'est élargi depuis à l'Union européenne et à treize autres pays. Cependant, malgré ces efforts, on considère que dans les pays de la CEI, seuls la moitié environ des bâtiments contenant des matériaux radioactifs sont dotés d'équipements de sécurité (clôtures, caméras de surveillance et instruments pour surveiller la radioactivité).
  • Pour coordonner la multiplicité des projets d’aide, l’Agence fédérale pour l’énergie atomique russe (Rosatom) a élaboré un Plan stratégique pour la Russie du Nord-Ouest, dont la seconde phase s’achève en août 2007. Cependant on lui reproche de peu se soucier des intérêts des populations. Par ailleurs, certaines ONG dénoncent un effet pervers de l’aide qui permettrait à la Russie de maintenir une industrie nucléaire obsolète, notamment grâce au retraitement du combustible à usage militaire en combustible pour les centrales.

mardi 19 mars 2013

Silver Pictures, de Joel Silver, va s’allier avec StudioCanal pour un reboot de « New York 1997 », le film science-fiction de John Carpenter, sorti en 1981. Kurt Russel a joué le premier rôle dans la version originale du film. Il a incarné Snake Plissken, un antihéros qui porte un bandeau sur l’œil gauche. L’histoire se déroule dans un futur proche aux États-Unis, où l’île de Manhattan a été transformée en une prison de très haute sécurité. Snake Plissken a un jour devant lui pour sauver le Président des États-Unis qui a été pris en otage là-bas. New Line et Warner Bros Pictures projetent de faire ce remake depuis pas mal de temps. A un certain moment, Len Wiseman (« Underworld ») et Breck Eisner (« The Crazies ») étaient respectivement pressentis pour réaliser le film, tandis que Gerard Butler, Jeremy Renner et Tom Hardy étaient considérés pour le rôle de Plissken, il y a deux ans. (Source: http://www.actucine.com)

Le reboot de New York 1997 avance | ACTUCINE.COM

"Award-winning director Jeff Renfroe (One Point O, Civic Duty) delivers an action-packed, post-apocalyptic thriller in his icy feature THE COLONY. Set during the next ice-age, an outpost of colonists struggle to survive below the world's frozen surface. Short on supplies, and plagued by illness and internal conflict, the colonists suspect the worst when they mysteriously lose contact with their only other known settlement, Colony 5. When Colony 7's leader Briggs (Laurence Fishburne - Contagion, The Matrix Trilogy) decides to lead an expedition to discover what happened, he is challenged by Mason (Bill Paxton -- Aliens, Twister), his former comrade-in-arms, who has his own ideas of what is best for the colonists. Briggs takes two volunteers on the mission, the young Graydon, and Sam (Kevin Zegers - Fifty Dead Men Walking, TV's Gossip Girl), a strong-willed mechanic who seizes the opportunity to confront the icy wasteland that orphaned him. When they reach their destination, the team discover a threat much worse than nature and must battle to save themselves and protect their fellow colonists in what might be humanity's last stand. A riveting, intense story of survival, humanity, and desperation, THE COLONY is a rich addition to the post-apocalyptic action genre."

The Colony Official Movie Trailer [HD] - YouTube

 

Et si la peste revenait frapper l’Europe ? (Par Janlou Chaput, Futura-Sciences) La peste est largement connue pour les épidémies mortelles qu’elle a pu causer dans le passé. Mais si la France a été épargnée depuis près de trois siècles, sommes-nous définitivement à l’abri d’une résurgence ? Le contexte actuel de résistance aux antibiotiques invite les spécialistes à faire preuve de beaucoup de vigilance… Est-ce vraiment une maladie du passé ? Dans l’esprit des Européens, la peste est une terrible infection qui a causé de terribles épidémies dans un lointain passé. Cette pandémie de Peste noire ravagea le Vieux continent au milieu du XIVe siècle, tuant selon les experts entre 30 et 50 % des Européens. Ce sont d’ailleurs les restes d’une douzaine de ces victimes qui viennent d’être exhumés la semaine passée à Londres lors de fouilles dans un chantier de Crossrail. En France, le dernier épisode important date d’il y a près de trois siècles. Entre 1720 et 1723, Marseille et sa région ont été le théâtre d’une épidémie terrible, durant laquelle jusqu’à 120.000 personnes auraient péri sur les 400.000 habitants qui occupaient la Provence à l’époque. Si les maux qui nous affectent évoluent au fil des siècles, devons-nous craindre aujourd’hui une nouvelle pandémie de cette maladie médiévale ? Peut-être estiment les spécialistes, qui jugent que nous ne sommes pas forcément à l’abri d’un retour et qu’au cas où, il serait plus prudent de se parer à toute éventualité. C’est du moins une idée défendue par Christian Devaux, chercheur au Centre d'études d’agents pathogènes et biotechnologies pour la santé (CPBS), dans la revue Infection, Genetics, and Evolution.

Actualité > Et si la peste revenait frapper l’Europe ?

Dans Scène de la peste de 1720 à la Tourette, le peintre Michel Serre livre un témoignage visuel de l'ampleur des dégâts, et montre le chevalier Roze, symbole de l'État, contribuer à l'inhumation des cadavres.